Pourquoi le “presque” est parfois mieux que la perfection

 

On nous a tellement appris à viser la perfection qu’on oublie que le “presque” a un charme fou. Une tarte un peu trop dorée, un rouge à lèvres qui a filé après un fou rire, un plan de vacances improvisé à moitié… Ce n’est pas parfait. C’est vivant.

Le problème avec la perfection, c’est qu’elle fige. Elle étouffe la spontanéité, elle te met la pression, et souvent… elle empêche même de commencer. Le “presque” au contraire, c’est le mouvement, l’essai, l’aventure.

En plus, le “presque” est accueillant. Il laisse de la place aux erreurs jolies, aux surprises, aux détours. Il te rappelle que tu n’es pas un robot, mais un être humain avec des envies, des coups de mou, des coups de génie aussi.

Alors, si ton salon est “presque” rangé, si ton maquillage est “presque” réussi, si ta vie est “presque” comme tu l’avais imaginée… tant mieux. Ça veut dire qu’elle respire.

 “La perfection, c’est surfait. Le presque, c’est sexy.”

Ma Bulle Féminine 
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